Ce Conseil informel organisé par la présidence suédoise les 27 et 28 février a mis en lumière les divergences entre les Etats membres en faveur d’une réforme rapide et les pays souhaitant une restructuration plus mesurée. A cette occasion, la France a initié un groupe de travail autour des questions du nucléaire : les onze pays signataires de la déclaration commune réitèrent l’importance de cette énergie décarbonée et leur souhait de coopérer davantage sur la sécurité, la gestion des déchets et la promotion de la recherche.
Pour rappel, la proposition de réforme du marché de l’électricité de la Commission est attendue pour le 16 mars prochain.